Articles de cette rubrique

| Accueil | | Quoi ? | | 2009 |

mercredi 13 juillet par cdk1


- "Commando Phantom" : Teddy Page aka "Regal Film Inc. présente un film de Irvin Johnson" 1987 outside-link (++++ Max Thayer remue ciel et terre pour retrouver son frangin empêtré au Nam. Arborant un Stetson de belle facture, il fritte les membres d’une force US ultra-secrète qui, sous l’anonymat de masques à gaz infra-sophistiqués, dézingue du viet au kilomètre, hommes, femmes, vieillards zé enfants, identiquement sans regimber, à l’aide de mortiers qui font "Pfuuu". "Du travail de fils de chien" disent des bêrets verts en retard au spectacle des restes. Et même si plus loin le film discourt sur ces ressemblances qui suppléent nos différences, ainsi qu’en témoigne un long plan de blancs culs alignés dans l’onde, la poésie légionnaire s’abime et se sublime dans ce rappel à l’ordre final : "Personne, non personne, ne se met au dessus des lois". Les méchants finissent donc mal : certains même avec une grenade sous la visière... Gros nanar !)

- Intermerde : Extraits de "Dawn of the Killer B’s" : Special Baskee selecta 2009 (En avant première, un des DVD de la prochaine vadrouille du Cleube. Contenant notamment des extraits soigneusement choisis de galipèdes musclées tirées de "Clash of the Warlords" / "Mad Warrior" Willie Milan 1985 outside-link )

- "Spasms" : William Fruet 1983 outside-link (Début sur rave ethnique et monstre qui tue. Oliver Reed engage Peter Fonda, psychiatre, pour récupérer le spécimen car des "perceptions télépathiques sont activées grâce à des protéines spéciales". Hmmm... de la psychanalyse à la télépathie animale il n’y a qu’un pas c’est bien connu. Bloppers et compagnie, ce sous Scanner poussif se traine en longueur dans l’obscurité de ses scènes interminables. Une dég’ rigolade expliciterait elle enfin l’inexplicable ? Ah... bé non. Imbitable jusqu’au bout. Spasms ellipse les scènes indispensables à sa compréhension jusqu’à tarir une à une toutes ses promesses. Hop, poubelle !)